▶ Yasmine, 29 ans, originaire de Syrie
« À mon arrivée à Paris, je portais en silence les images d’Alep détruite et les nuits sans fin. Avec MIM, j’ai trouvé un espace où parler n’était ni dangereux ni inutile. Être écoutée sans être jugée m’a permis de recommencer à me sentir vivante. »
▶ Raed, 35 ans, Irak
« J’ai fui Mossoul avec des cauchemars collés à la peau. MIM ne m’a pas seulement offert une aide psychologique, ils m’ont donné un cadre où ma souffrance était reconnue. Cela a changé mon rapport à moi-même. »
▶ Rouba, 42 ans, Liban
« Ce que je portais n’avait pas de mots. À MIM, j’ai été accueillie comme une personne, pas comme un cas. Leur accompagnement m’a redonné une forme de force que je croyais perdue. »
▶ Rafik, 19 ans, Syrie
« Quand on m’a orienté vers MIM, je ne savais pas à quoi m’attendre. Je ne parlais presque plus. Peu à peu, ils m’ont aidé à mettre des mots sur ma douleur, à me sentir à nouveau digne d’exister. »
▶ Rana, 31 ans, Irak
« Vivre avec les souvenirs de Mossoul, c’était vivre en apnée. Chez MIM, j’ai pu respirer à nouveau. On m’a donné les moyens de traverser mes peurs, sans les effacer, mais sans qu’elles me détruisent. »
▶ Ahmad, 50 ans, Liban
« La guerre m’avait isolé, pas seulement des autres, mais aussi de moi-même. MIM m’a permis de reconstruire un lien avec mon histoire, de la regarder autrement, et de ne plus être uniquement défini par mes blessures. »
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